À la recherche part 1

J’arrivais enfin dans ce petit village si paisible, rempli de crime de toute sorte, où mon style vestimentaire et mon insigne de tour ne laisseraient certainement personne indifférent. Je cherchais d’abord une boutique d’ärm, j’étais certain que dans une ville aussi dangereuse pour la plupart des humains inférieurs, il y avait certainement le genre de chose que je cherchais.

* Foutu objet de merde, je suis maintenant pris pour allez chercher un truc d’on j’ignore au simple fait l’existence même. Dès que je suis un pur vampire, je vais exploser cette objet de merde qui se crois si puissant, mais qui ignore qu’en faite, c’est la puissance de sont créateur qui le rend ainsi. *

Je regardais bien attentivement chaque bâtiment, je savais hors de tout doute que j’aurais certainement la visite de quelques voleurs qui tenteraient certainement de faire quelques pyutas sur mon dos, mais je n’avais pas vraiment peur de cela, qui oserait affronter Sebastian, le plus sombre de tout les êtres sur cette terre, ange déchu tomber du ciel pour pourfendre le bonheur, éteindre les émotions vive, pour soulager du bien-être. Je me mis à chanter encore une fois une jolie balade pour endormir les enfants :

Peut-être connaissez-vous l'auberge chez Paré
C'est un bien bel endroit, quoi qu'un peu malfamé
J'y connais tout le monde car j'y vais toutes les nuits
Et d'une certaine manière, c'est là que je gagne ma vie
Ma chienne de vie...
L'ambiance y est malsaine, l'atmosphère enfumée
Assassins et tire-laine y sont tous rassemblés
Ce soir tu y es aussi, j't'ai tout de suite aperçu
Les 2 yeux dans le vide, l'air complètement perdu
Pigeon parfait...
Je t'observe de loin, tu as l'air d'être seul
La naïveté se lit sur ta belle petite gueule
Je m'approche de toi en t'offrant une bière
Surtout savoures-la bien, ce sera p'tête la dernière
On ne sait jamais...
Vraiment jamais...
Alors toute la nuit, je m'efforce de te saoûler
Et à la fermeture quand tu n'peux plus marcher
J'te prend par le collet et je te traîne dehors
Tu n'te défends même plus, t'es vraiment ivre mort
Saoûl comme un porc...
Reste plus qu'à t'assomer sur le bord du pavé
Te fourrer dans un sac pour te dissimuler
Alors je me rendrai avec toi sur mon dos
Chez celui qui m'attend pour m'acheter mon fardeau
Pour quelques pyutas...
"L'Eglise interdisant de disséquer les morts,
C'est là que j'interviens lui procurant des corps
Le vieux me paie très bien pour n'pas poser de questions
Et moi de toute manière, j'me fous de la religion
De toute façon... De toute façon...
Il s'occupera de toi, tu seras bien traité
Tu ne souffriras pas avant d'être éventré
Il fouillera tes entrailles, ta belle anatomie
Au nom de la connaissance, tu donneras ta vie à la science!"
Maintenant que vous connaissez l'auberge chez Paré
Cet agréable endroit qu'il vaut mieux éviter
Inutile de vous dire que si vous y allez
Surtout n'acceptez pas la bière d'un étranger...
On n'sait jamais... Vraiment jamais!

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

[Bon, je te meujiserais^^]

Pendant que Sebastian errait dans la ville, deux ombres le suivaient, se cachant dans les zones d’ombres pour ne pas se faire voir. Puis, lorsqu’il passa dans une rue plus sombre que les autres, le genre de rue où les passants ne passaient jamais, les deux hommes qui le suivaient sortirent de l’ombre. A défaut d’homme, l’un d’eux était en réalité une femme. L’homme était un colosse, mesurant à peu prés deux mètres, et avait une carrure impressionnante. Il était torse nu, sans doutes pour montrer ces muscles, et ce torse et ses avant-bras étaient couvert de cicatrices. La femme elle était plus petite et plus fine, mais avait tout de même la mâchoire carrée. Ils portaient tous les deux un katana à leur côté. Droit pour l’homme, gauche pour la fille. L’homme se mit alors à parler de sa voix grave.

« Toi ! File nous ton argent ! Ou sinon je te saignerais comme un porc ! »

Il rigola alors de sa blague. Quand il avait prononcé sa phrase, la femme avait passé son pouce sur sa gorge en signe de mort. Bref, des bandits rien de plus normal...

Bandit mâle : Toi ! File nous ton argent ! Ou sinon je te saignerais comme un porc !

Sebastian avait bien entendu, on venait lui demander sont argent. Le bandit rigola alors de sa blague. Quand il avait prononcé sa phrase, la femme avait passé son pouce sur sa gorge en signe de mort.

* Comme la bêtise humaine est grande dans un monde sans Thanatos. *

Seb : Fils je te le dit, Thanatos est mort une première fois et il est revenu, il est mort une seconde fois et il va renaître encore plus fort, tel est la voie qui même à la rédemption des âmes perdu! Toi qui crois en le pouvoir des armes, tu ne voie point en ce moment que ta défaite est déjà grande, que le ciel est devenue sombre déjà. Sekhmet peut bien se présenter ici, le pouvoir de Thanatos et de l’échiquier sera avec moi. Mon fils prépare toi. Je te poserai une seule et unique question avant que ta souffrance te libère de ton attachement physique. Je te conseil de bien répondre ou bien je pourrais faire durer bien plus longtemps ce que je m’apprête à te faire.

DARK CROSS!

Ma double faux en signe de croix venais d’apparaître dans mes mains, laissant un fort doute dans la tête de quiconque avait un t’en sois peu espoir en la vie. Ma capuche venais de se retourner, laissant place à mon visage blanc, mes yeux rouge et une envie de mort des plus morbide. La femme n’était rien, mais l’homme allait paye pour avoir amener sur un champ de bataille le pécher originel, celle qui m’y fin à l'Ere des Dieux, tout le monde savait que la femme n’était que pure mal, créer par Sekhmet même.

* Ces deux petites noix vont être un bon test pour mon ARM final. *

50 PV
10 - 10 = 0 PM

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

[Je ne sais pas si tu l’as attaqué...Précise le dans tes post, en indiquant les pvs qu’il perd ]

Sebastian parlait, et les deux bandits ne comprenaient pas tout. Il utilisait un vocabulaire bien trop compliqué pour eux. Mais l’homme prit tout cela pour une insulte.

« Quoi ? Tu te prends pour mon père ? J’ai vraiment envie de te tuer là...En fait, tu sais quoi ? Je vais te tuer et après je prendrais l’argent que tu as sur toi... »

Ce fut alors que la Tour du Chess fit apparaître une faux. Le bandit s’écarta quelque peut, apparemment étonné de se retrouver devant un utilisateur d’ärm. Puis il dégaina lui-même son katana.

« Je vois...Tu veux te battre...Tu vas payer cher ton audace ! »

Il s’élança alors sur son adversaire, et abattit son arme sur lui (-5pv). La femme n’avait toujours rien fait, mais avait poser sa main sur son katana.

« Quoi ? Tu te prends pour mon père ? J’ai vraiment envie de te tuer là...En fait, tu sais quoi ? Je vais te tuer et après je prendrais l’argent que tu as sur toi... »

* Un fou, c’est certain, sa folie va l’amener dans sa tombe. *

« La mort, tu veux qu’on en parle? Cette triste fin qui n’a point quitté de sa funèbre sentence la lame de mon Ärm. Qui n’a point vue au triste jour d’hiver morne une ombre, celle de la mort, ce faufilant de maison en maison attaquant les plus faibles ceux qui ne pouvaient se défendre. Il est à noter que cette mort est toujours présente tout autour de moi telle ma propre ombre. Tout ce qui vit meurt et tout ce qui meurt est vivant. La mort se voit par l'arrêt de tout mouvement. S'il y a consensus sur le fait que la mort est la cessation définitive de la vie, il y a controverse pour ce qui est du moment précis où cette cessation peut être considérée comme accomplie. »

Puis le bandit dégaina lui-même son katana, car effectivement il aurait été difficile pour une autre personne de dégainer sont arme.

« Je vois...Tu veux te battre...Tu vas payer cher ton audace ! »

Le bandit s’élança alors sur moi, et abattit son arme. S’en était donc fait de son âme. Je frappai de toutes mes forces, comme si je voulais le décapiter sur le coup (-5pv ennemis + 5pv pour moi ). Ne me préoccupant d’aucune façon l’être abject qu’était cette femme.

« Que ta torture commence, que ta souffrance s’élève au plus haut niveau que ton sang asperge cette ruelle de façon a répandre ta vie afin que tous sachent que tu as vue le VAMPIRE. Tu vas vite comprendre pourquoi on me surnomme le vampire, tout ce que tu vas me faire va se guérir comme un guerrier immortel que je suis, chaque coup, chaque attaque sera effacé par ma puissance vampirique, tu ne saisi pas encore ce que je veux dire, hé bien regarde s’effacé ce tout premier coup, regarde le disparaître. Tu vois à quel point je te suis supérieur, tu vois à quel point ta mort est évidente, tu vois à quel point toute tentative est futile, tu vois à quel point tu aurais du rester dans mon ombre. »

50 – 5 +5 = 50 pv
0 pm

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

A nouveau, Sebastian lança une longue tirade, sur la mort cette fois-ci, et à nouveau ses deux adversaires ne le comprirent pas. Leur éducation avait sans aucun doutes était arrêté à un moment important...Voir même dés le début. Puis la Tour attaqua, l’homme eut le temps de reculer, mais se fit tout de même toucher par la faux. Il sentit alors sa "vie" s’échappait de son corps, et il comprit que l’ärm de son adversaire était quelque peu spécial.

« Je vois...Ton arme a une faculté...Ou plutôt devrais-je dire ärm...Mais nous avons l’avantage du nombre ! »

Il fit alors signe à la femme d’attaquer avec lui, et chacun allèrent vers lui d’un côté. L’homme alla vers la gauche, sa coéquipière vers la droite. Et chacun frappa en même temps (-5*2=-10).

« Tu ne pourras pas nous résister ! »

« Je vois...Ton arme à une faculté...Ou plutôt devrais-je dire ärm...Mais nous avons l’avantage du nombre ! »

« HAhahaHAhahA!!! Tu crois franchement qu’une demi personne, non plutôt qu’un jouet puis t’aidé! Rien a faire, même Thanatos ne peut y faire, ce que femme promet d’accomplir peut s’écrire sur l’eau des rivières ou bien dans les airs. »

Les deux bandits m’attaquèrent simultanément, rendent peu probable que j’arrive à régénérer tout les dommage, il fallait que je fasse vite et que j’extermine l’un d’eux pour pouvoir utiliser l’ÄRM final.

« Tu ne pourras pas nous résister ! »

« Est-ce que j’ai l’air effrayer petit humain, crois tu franchement que je vais fuir devant telle adversité? Tu semble oublier que je suis une TOUR de l’échiquier et non pas un pion de la société. Rien qu’a t’entendre je reconnais la peur dans tes discours, tu cries pour tenter d’effacer le tremblement de ta voix, tu essayes d’augmenter le nombre pour te donner du courage, mais quel homme sur cette terre a besoin d’une femme pour le protéger, quel larve faut il être pour demander à un être inférieur en tout point à l’homme de nous aider. Tu saisi maintenant que ton âme n’a plus d’autre endroit ou aller, même l’enfer ne prend guère d’être aussi pathétique. Ton âme sera simplement effacé, tous ceux qui t’on connu devrons effacé de leur mémoire l’homme qui demanda à une femme de le protéger. HahahAhaHa!! Maintenant je vais plus sérieux. »

J’attaquais simplement l’homme tentant d’avoir quand même les deux adversaires à ma vue. Le fais d’avoir des lames des deux coté de mon ÄRM pourrais peut-être m’être utile finalement. ( -5pv ennemis +5pv pour moi )

50 – 10 + 5 = 45 pv

0 pm

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

Sebastian avait en partit perdue de ses longues tirades, il ne parlait plus de mort ou quoi que ce soit, mais de combat. Les deux compagnons allèrent donc attaquer à nouveau leur adversaire. Peine perdue, celui-ci les attaqua à nouveau avec sa faux, l’homme tombant à terre, la femme à ses côtés. L’homme ne semblait plus en état de se battre. La femme aperçue cela. Elle leva alors sa lame dans les airs, et se la planta dans le ventre. Elle préférait sans doutes mourir d’elle-même que se faire prendre ou battre par un adversaire. Sans doutes n’aurait-elle pas réussit à le battre. L’homme quand à lui ne fit pas preuve du même courage que sa coéquipière, et gémissait même.

« Pi...Pitié, ne me tuez pas...Dites moi ce que vous voulez... »

Un être bien pitoyable...Peut-être que Sebastian le tuerait...Ou qu’il trouverait comment se servir de lui pour trouver ce qu’il était venu chercher...

L’être abject qu’était cette femme venait de s’enlever la vie. J’entendis un drôle de bourdonnement dans mes oreilles qui sonnait plutôt comme.

« Pi...Pitié, ne me tuez pas...Dites moi ce que vous voulez... »

J’avais enfin son attention. Je me dirigeai vers la femme retirant le katana de sont ventre de façon a faire giclé le sang sur l’homme apeuré. Je fis retourné mon weapon ärm à sont état de repos, puis me dirigeai une fois de plus vers l’homme toujours au sol. Plusieurs lisières de sang coulaient sur son visage déjà difforme par la peur. Je lui retirai son katana aussi, puis d’un grand geste… Non je me retins!

« Je t’ai dis plutôt que je te poserais une seul question et qu’a se moment la tu répondrais! Si ta réponse me convient, je vais certainement te laisser vivre, mais si ta réponse est décevante, je risque plutôt de m’énerver et tu ne risque pas d’avoir la même chance que ta servante. Se sera long, difficile et certainement que ton esprit préféra de loin avoir su la réponse bien avant la fin. Peut-être même inventeras tu une réponse pour ne pas avoir a subir le châtiment divin d’un prêtre. Bref voici la question : Ou est-ce que je peux trouver rapidement une pierre magique de rang 5? »

J’avais envoyer les katanas plus loin jouant maintenant avec un petit crâne en argent. M’interrogeant sur le bien fonder de l’utiliser maintenant ou plus tard. Une chose était certaine, peut importe la réponse, cet homme était mort. Il avait osé prétendre être supérieur au Chess no koma.

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

[T’as récupéré tous tes pvs. Bien que tu n’en as pas perdu beaucoup xD]

Sebastian avait retiré le katana de la femme de son corps, puis avait hésité à tuer l’homme. Celui-ci avait failli s’évanouir en sentant sa mort aussi proche, mais en entendant les paroles de l’homme du Chess, il se ressaisit.

« Ainsi...ainsi vous cherchez une pierre magique de rang 5 ? Je peux...Je peux vous dire où vous pourrez peut-être en trouver une...C’est à vous de voir, si vous voulez suivre quelqu’un d’aussi pitoyable que moi. »

L’homme avait énormément perdu de son arrogance. Et pour cause, il venait de se faire mettre à terre en deux coups contre quelqu’un qu’il pensait pouvoir maîtriser facilement. De plus, cet homme jouait désormais avec un crâne en argent. Cet objet devait être autant voir plus puissant que l’autre, il ne préférait donc pas si frottée. Et il proposait désormais d’emmener Sebastian là où il pourrait trouver une pierre magique. C’était désormais à lui de choisir...

« Ainsi...ainsi vous cherchez une pierre magique de rang 5 ? Je peux...Je peux vous dire où vous pourrez peut-être en trouver une...C’est à vous de voir, si vous voulez suivre quelqu’un d’aussi pitoyable que moi. »

* pitoyable *

J’avais eu une idée malchiavélique quand cet être commençait à tenter de négocier.Rien qu’à y penser, mon sang se réchauffait bien que la température de cette petite allée n’était pas des plus chaudes.

« Tu veux que je te suivre sans même te faire passer un petit test, tu me crois assez con pour te suivre jusqu'à ce que tu puisses t’enfuir ou bien me tendre un piège. Alors voilà, je te propose quelque chose et ce n’est pas une offre refusable. Je veux que tu expose ta femelle en croix lui retirant ses entrailles sur l’un des murs et qu’ensuite que tu me plaide allégeance. Tu deviendras le premier de mes disciples. »

Je regardai ce qu’il allait faire. À la moindre hésitation j’activai mon darkness Ärm. Je lui envoyais les deux katana pour qu’il puisse commencer sa lourde besogne. Le sang allais couler peut importe.

* Maintenant c’est à toi de choisir ton destin petit minable. *

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

Une idée machiavélique...Oui, c’était ce qu’avait eu Sebastian en obligeant l’homme à ouvrir le cadavre de la femme. Il acquiesça de la tête, sans dire un mot puis prit l’un des katana que la Tour venait de lui envoyer. Apparemment ouvrir le cadavre de sa coéquipière ne le dérangeait pas tellement, car il le fit sans hésiter. Il ne devait pas vraiment la connaître. Puis, il la porta avec un bras, tenant de l’autre un katana. Il le planta dans une de ses mains, et fit de même avec l’autre. La femme était maintenant accrochée au mur, les bras tendu en croix. Sa besogne faite, l’homme se retourna, toujours tremblant à l’idée de revoir celui qui lui avait dit de faire ça.

« C’est...C’est bon là ? »

[Sur ce coup, j'avais pas beaucoup de choses à dire ]

« C’est...C’est bon là ? »

* Non ce n’est pas bon pauvre crétin dégénérer, tu as oublier le plus important. *

Je le regardais avec un regarde des plus mortel, il avait oublier le plus important de tout ce travail, la chose qui en elle seule pourrait lui valoir la mort, une chose qui bien des hommes avide de survie n’aurait pas oublier.

« Le mal possède plusieurs formes. Tu dois toutes les connaître. Tu dois identifier le mal sous ses multiples déguisements et l’embrasser. N’aie confiance en personne. Pas même toi. Mieux vaut mourir en vain que de vivre dans l’infamie. Le martyre zélé est loué pour sa valeur, le lâche et le traître sont à juste titre abhorrés. »

J’étais certain qu’il n’avait en rien saisie ce que je venais de dire, mais la était la réponse. Il valait mieux mourir que de faire ce que les autre voudrait que l’on fasse. Il n’était pas digne d’être un de mes disciples et encore moins que je le suive dans cette ville, mais j’avais besoin du nom d’un endroit pour que je puisse enfin trouver cette objet.

« Dit moi ou se trouve l’objet de mes désirs maintenant! »

Je serrais fortement mon darkness Ärm maintenant, afin de lui montrer que je n’étais en aucun cas satisfait de lui. La jeune femme morte avait plus de valeur à mes yeux désormais, mais elle resterait en faite qu’une statue au nom du grand rien. Mieux valait il avoir un corps briser qu’un esprit corrompu par les idées des bien pensant de ce monde qui croyait en juste que le mal n’était pas la solution au problème de cette société malade.

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

L’homme acquiesça, lorsque Sébastian parla. Mais en réalité, il n’avait rien compris, et cela se voyait sur son visage. En réalité, il ne faisait cela que pour se faire bien voir par l’homme qui l’avait forcé à faire ce qu’il venait de faire. Il n’avait jamais connu personne d’aussi cruel...Mais son boss ne l’était pas...Puis il demanda le nom du lieu où trouver la pierre. Et le voilà maintenant en proie à un cruel dilemme.

« Nan...Nan, je ne peux pas...Si vous y allez seul...Vous mourrez à coup sûr...Si vous n’êtes pas de l’organisation...Elle...Elle vous tuera... »

L’homme se prit la tête dans les mains. Il était entrain de se rappeler la dernière fois qu’il avait vu son boss tuer quelqu’un...

« Mais si je ne vous le dis pas...Vous...Vous me tuerez... »

Il se décida soudain. Sans doutes préférait-il voir mourir Sebastian plutôt que lui-même.

« 36, rue d’Apophis...Une maison brulée...Le... »

Il semblait sur le point de dire quelque chose, mais se ravisa et se tue.

« 36, rue d’Apophis...Une maison brûlée...Le... »

En faite peu importe ce qu’il s’apprêtait à dire, il était un homme mort. J’avais maintenant l’adresse ou je devais allez. Il ne me servait donc plus a rien de le nourrir d’espoir, maintenant retour du désespoir.

« Homme de peu de foie, en vertu de la loi que je me suis moi-même dictée, par la grâce du cercle des ténèbres et au nom de l’échiquier et de Thanatos, je vous déclare indigne et, pour preuve de vos crimes, je soumets votre âme au jugement dernier. »

J’activais mon crâne.

L’aura des ténèbres m’entourait, la peur allait s’abattre tel un fardeau insoutenable. Le bandit était frapper de plein fouet par une peur comme il en avait jamais ressentie, une peur si profonde qu’elle le faisait se mutilé pour tenter de ressentir autre chose. Par contre moi je voyais la mort. Il n’y avait rien de plus effrayant pour moi que la mort. Je connaissait bien se sentiment, je l’avais vue tellement souvent. Quelques marques apparaissaient sur mon corps comme un signe de la noirceur de cette Ärm. ( -20 pv bandit, - 10 pv à moi-même ) J’entendais les cries de l’homme, douce musique à mes oreilles, sentiment qui me réchauffais le cœur pendant que j’observait toujours la mort tuer mon corps. Cela ne me paralysait pas, mais j’étais quand même trop curieux pour ne pas regarder ma plus grande peur.

« Que part ta mort, t’es pêchers te soit remis en double, que l’enfer t’embrasse et que ta vie après ta mort ne sois que torture, agonie et désespoir. WWWWHHHHHHAAAAHHHAAAAHHHAA!!!! »

Un rire des plus satanique pouvait se faire entendre à des lieux à la ronde, comme si je m’en faisais point que quelqu’un voit ce qui arrivait en ce moment. Comme si je n’en avais que faire que quelqu’un essaie de m’arrêter… Comme si le monde avait arrêter de tourné. Après avoir vue le corp inerte de mon très cher ami, je décidai de partir trouver la fameuse rue.

Il y avait comme une odeur de mort qui plainait dans l’air, une douce odeur que j’appréciais si bien. J’avais à trouver maintenant une adresse et un nom de rue. Je ne connaissais pas si bien que cela tous les noms de ces rues sinueuses. Je marchais chantant une petite chanson douce et paisible.

« Ici, pas besoin d'guerres
La mort se présente d'elle-même
Pas besoin d'chercher d'sanctuaire
Tout est prescrit par le système
Aujourd'hui est pire qu'hier
Mais sûrement bien mieux que demain
Cette journée n'est pas la dernière
Du règne des assassins

Seras-tu mort ou vif demain?
A leurs yeux ta vie ne vaut rien
Seras-tu mort ou vif demain?
L'avenir est incertain
Seras-tu mort ou vif demain?
Lutte encore par tous les moyens
Seras-tu mort ou vif demain?
Reste le seul maître de ton destin

Pour être pris dans la spirale
Du crime et de la violence
Il n'y a qu'à vivre en marginal
Pour que s'enclenche la grande danse
Le bal maudit des spectres rieurs
Du chômage et d'la pauvreté
La fiesta de tous les menteurs
Que le pouvoir peut tenter

Toutes les routes mènent à la ruine
Sur la carte de l'indifférence
Cette belle société guillotine
De sa lame d'intolérance
Et les pauvres gens qu'on leurre
N'ont vraiment que peu de chances
Car au royaume des tricheurs
Le parcours est piégé d'avance! »

Il était difficile de trouver des paroles qui sonnaient si bien en cette occasion. J’avais un endroit où je trouverais ce que je cherchais, deux cadavre exposer en vitrine et quelques blessure qui guérirait rapidement.

* Foutu ville, pourquoi il y a autant de nom de rue. Si sa continu comme ça je vais devoir tuer quelqu’un juste pour me calmé, ce serait dommage de pourfendre la vie d’un innocent juste pour ça. *

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

Sebastian chantait, et se promenait dans les rues à la recherche du numéro 36 de la rue d’Apophis. Au détour d’une rue, il trouva un panneau à moitié décroché.

Citation :: Rue d’Apophis
Roi des dragons

Un coup de chance apparemment. Rester à trouver le 36. Le numéro de droite était le 6. Celui de la maison de gauche étant le...6. Voilà une chose bien peu banales...Deux maisons ayant le même numéro, quel était donc ce mystère ? Mais cela importait peu en réalité à Sebastian...Vu qu’il recherchait le numéro 36. En regardant le rue, il put voir quelle était entièrement brulé.

Il n’y avait pas de doute dans la tête de Sebastian. Trois options s’ouvraient à lui. La première, était certainement des plus difficile. Il fallait trouver un parent du défunt bandit, le torturer et obtenir les dernières informations. La seconde, un peu plus facile serait de trouver quelqu’un qui puisse lui donner l’information sur le #36. La dernière serait certainement de croire que le # … 6 est en faite 36, mais qu’avec le feu le premier numéro étais tomber et qu’aucun de ses petits voleurs n’avais envie de vraiment remettre le numéro en place.

* Vaux mieux essayer de vérifier un truc d’abord. *

Il y avait un truc que je n’avais pas essayé. Lors de mes combat contre des adversaires de bien plus haut niveau, j’arrivais à détecter le flux magique s’échapper. Une pierre de niveau 5 devait certainement être à un endroit ou le flux magique changeait facilement. Je me concentrai sur la fameuse maison … 6. Qui de toute évidence serait certainement celle qui avait le plus de chance d’être la bonne. J’avais aussi l’option d’espionner à la fenêtre. J’utilisais ma discrétion niveau 1, pour tenter d’observer par les fenêtres en me concentrant bien sur, sur les fluides magiques dans l’air.

* Si ce n’est pas la, hé bien je plains le prochain voleur de cette ville de crasse. *

Nombre de messages : 267 Age : 31 Date d'inscription : 20/01/2008

Sebastian essaya de se focaliser sur la magie d’une pierre magique de niveau 5. Malheureusement, il échoua. Il ne vit rien et ne sentit rien qui ressemblait à cela (tu aurais Perception Amélioré ou Connaissance Magique, je dis pas...Mais là ^^’). Il essaya ensuite de regarder à travers la fenêtre...Malheureusement, il ne vit rien d’autre que la maison brûlée...Ce qu’il aurait très bien put faire en regardant la maison directement, étant donné qu’une bonne partie des murs s’était effondrés. Mais, en regardant par la fenêtre, et donc en s’approchant de la maison, il entendit des bruits. Des gens qui parlaient, ainsi que des râle, des grognements. Pourtant en regardant dans la maison, il n’y avait personne...

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