Lettre à Kendra

[Pour kody-kun ! :p je me base sur la fin du rp précédent donc jte résume]

Medillen arriva après plusieurs jour de marche à Luberia. La poussière accumulée de ses derniers jours forma une couche crasseuse sur lui. Il aimerait tant prendre un bon bain brûlant, un de ses rare hobbies en dehors du combat et de la forge. Toutefois, il devait d'abord accomplir quelque chose d'important.

La vision du brigand qu'il avait trucidé quelques semaines auparavant lui revint devant ses yeux. Il s'appelait Feitan, et à l'aide de sa soeur Medillen l'avait vaincu. C'était un grand guerrier, il avait surpris Medillen par sa force. Ses dernière paroles étaient pour une femme... Une femme pour qui le coeur de Feitan ne battra plus. Apparemment c'était son amour. Touché par cette dernière déclaration, Medillen avait juré de lui donner la lettre que Feitan lui adressait. C'était le souhait d'un mort, et cela se respecte encore plus qu'une simple promesse. Dans léchelle de l'honneur, cela comptait triple. Comme il ne connaissait pas son adresse, et qu'il doutait fort que ce continent disposait d'une poste efficace, il décida de remettre lui-même cette missive a Kendra. En main propre...

Enfin mains propres... Facon de parler puisque désormais elles étaient forts sales. Medillen s'était décidé pour la ville de Lubéria non pas hasard. C'était dans cette ville des ombres qu'il arriverait sans doute à trouver des informations sur la fameuse Kendra. Après tout, son ami Feitan était bien un brigand qui travaillait pour qui le payait. Ce modus operanti sous entend forcément qu'il devait faire de la publicité dans les milieux maffieux. Et comme il n'y avait pas pire milieux maffieux que Luberia...

Instinctivement, Medillen porta une main à sa bourse à la ceinture. Elle était factice, la vraie se trouvait par pure précaution sous son kimono. C'était un stratagème digne d'un gamin de trois ans, mais cela le rassurait surtout. Il se dit que mieux vallait faire le touriste en arrivant pour ne pas attirer l'attention. Il aurait tout le loisir de poursuivre son vrai but si on ne savait pas quel objectif il poursuivait.

Il se dirigea vers une auberge pour pouvoir se reposer, se laver et déposer ses affaires avant de commencer ses recherches dans les tavernes lugubres de la ville. Il y avait foule pour une raison inconnue, et il dut ralentir son pas

°J'espère juste que je pourrais me décrotter avant de m'attirer des ennuis, doué comme je suis. Enfin, tant que je me soule pas trop la gueule je pourrasi éiter le pire"

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Medillen arriva dans la grande ville de Lubéria ou tout le monde était un peu voleur sur les bords et parfois les bords se rejoignaient avec un semblant de criminalité.

Le seul honneur qui faisait foi ici était à qui serait le plus grand arnaqueur. Le soldat qui vagabondait crasseusement dans les rues à la recherche d'une auberge où il pourrait retrouver figure humaine.

Plus il avançait et plus la population avait une âme noire, les femmes de joies et des handicapés en tout genre jonchaient les bordures de rues.

"Salut beau gosse, viens avec moi, tu verras je te laverai..."

"Des petites pièces monseigneurs" dit l'un d'eux en tentant d'agrippé la jambe de Medillen.

A force d'avancer il finit par arriver devant une auberge.

Citation :

Chambre seule: 500 Puytas.
Bain publique: 700 Puytas.
pension complète: 1 000 Puytas.

Cette ville était l'image même de la décadence. Il fut accosté par des filles de joies aux allures assez tristes, par des gamisn mendiants. Un de ces petits gosse lui palpa même sa bourse factice dans l'espoir de la dérober. Il arriva à l'auberge et vit les prix exhorbitant. Il ne put s'empêcher de s'exclamer.

" 500 pyutas pour seulement la chambre ? Mais c'est une honte ! Pour ce prix là on pourrait acheter cette auberge pourrie. et je n'ose penser aux bains publics..."

Le responsable se tourna vers lui, un sourire édenté aux lêvres. Il insulta le tenancier copieusement de toutes les injures qu'il connaissait puis sortir en furi du batiment. Cette ville lui faisait horreur. Il se rendit compte que c'était probablement mieux pour lui d'aller au plus juste et d'aller chercher directement des renseignements sur Kendra. Il se sentait fatigué mais c'était probablement la solution en meilleur accord avec ses convictions profonde et son radinisme ambiant.

Il accosta le premier passant qu'il vit en-dehors de l'immeuble. C'était une fille de joie. tant pis, il en avait marre. Il surmonta son dégout pour lui parler.

" Dites moi, mademoiselle, connaissez vous un endroit où je pourrais... avoir des informations... au sujet d'une personne pour laquelle je dois remettre une lettre ? Je vous en prie c'est très important."

Il espérait frapper à la bonne porte. Il espérait aussi que le tenancier n'allait pas apparaitre sur le psa de la porte. Le traiter de vieille outre percée en de trop nombreux endroit pour retenir une quelconque logique et un sens de l'honneur n'était peut-être pas une bonne idée, tant soit peu qu'il avait compris le sens de l'injure.

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Medillen lu attentivement le panneau des prix de l'auberge mais se refusa à payer une somme pareille. Sans doute pensait il qu'il n'était pas assez sale pour cela encore...

Il poursuivit son errance dans la rue avant de s'arrêter pour demander ses informations à une femme dont le métier se lisait sur son allure.

Citation :

" Dites moi, mademoiselle, connaissez vous un endroit où je pourrais... avoir des informations... au sujet d'une personne pour laquelle je dois remettre une lettre ? Je vous en prie c'est très important."

Elle le regarda d'un air légèrement condescendant dans un premier temps puis reprit un sourire intéressé...

"mais je t'en prie, appelles moi Sasha mon chou" dit elle en répondant d'un clin d'oeil.

la femme s'adossa à un mur et dévisagea Medillen.

"Tu sais que tout se monnaye ici cowboy? ca sera 500 Puytas par réponse que tu désires"

Il se faisait tard, la foule dans la rue diminuait et les la population se faisait de plus en plus maraude, les lumière de la ville s'allumaient unes à unes.

Medillen soupira, des insultes sur cette ville du démon tentèrent sa langue, mais il se retint. S'il devait reconcer à quelques pyutas, qu'il en soit ainsi ! Qu'était-ce après tout quelques pièce d'or contre la toute dernière volonté d'un mort ! Qui plus est, on racontait que si son dernier souhait n'était pas rempli, il hantait le vivant responsable de son séjour dans les limbres. Medillen n'aimait pas les histoire de fantômes, il était supersticieux dessus.

" C'est... c'est d'accord. Une si noble quête pourra s'affranchir de ce prix, fut-il aussi élevé. Ce que j en'emporterais pas lors de mon trépas, mon âme s'en affranchira."

Il se frappa théâtralement la poitrine avant de glisser la somme demandée dans la main de son informatrice. ses renseignements avaient intérêt à être bon. Il n'était pas d'humeur a plaisanter. Et si il s'agissait d'une enterloupe, sa colère ne risquait pas de s'arrêter juste par un membre de la gente féminine, aussi chevalresque fut-il.

"La personne que je cherche a koindre s'apelle Kendra. Elle était lié à un voleur du nom de Feitan qui opérait assez loin d'ici. C'est de la part de ce dernier que je la recherche, pour transmettre une lettre."

Il espéra que son interlocutrice pouvait l'aider dans sa quête... et surtout au prix qu'il l'avait payé !!!

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Medillen finit par sortir quelques pièces afin que la femme réponde à sa question (-500 puytas).

Citation :

"La personne que je cherche a joindre s'apelle Kendra. Elle était lié à un voleur du nom de Feitan qui opérait assez loin d'ici. C'est de la part de ce dernier que je la recherche, pour transmettre une lettre."

L'accompagnatrice de charme se mit à réfléchir, elle leva le regard vers les étoiles et posa un doigt sur son menton.

"Kendra... feitan... ces noms me disent quelques choses... il me semble que l'homme est partit pour de nouveauw horizon, laissant la fille en larme dans des conditions qui ne me reviennent plus vraiment. Je pense que vous devriez aller vous renseigner auprès de Tidan, c'est un voleur réputé ici, il vient quelques jours en semaine pour dénombrer la population de voleur de la ville. Et justement il sera là demain, sur la place de la fontaine, il est toujours avec ses lunettes de soleil, quelque soit le temps. Vous le trouverez facilement. Parlez lui de ces deux personnes."

La femme sous-pesa la bourse, apparamment satisfaite de ce qu'elle venait de gagner facilement. Elle s'en alla par une petite ruelle et disparue dans la noirceur d'un détour.

Medillen regarda la femme disparaitre dans les ombres de la nuit naissante puis se dirigea vers la sortie de la ville. Ce soir il allait camper dehors pour éviter de perdre ENCORE plus d'argent dans cette ville du démon. Il avait néanmoins bien progressé, il avait désormais un nom et un endroit pour continuer sa quête. Tidan, place de la fontaine. Profession : voleur...

A cette pensée Medillen frémit encore. Son code de déontologie était strict et déconseillait ce genre de contact avec les rebuts de la société, ces vermines qui polluaient de partout, qui corrompait les coeurs et les esprits... Et surtout, une vermine SANS honneur. Autant dire le retour à la barbarie.

Il marcha un petit temps, appréciant la balade nocture. Puis il s'installa à l'orée d'un bois, il s'adossa contre un arbre. Il était invisible de loin, et cela lui convenait parfaitement. Il ne dormit que d'un seul oeil toutefois, conscient que les détrousseurs devaient exister dans le coin.

Spoiler:

[Pas besoin d'éditer, je le fais pour toi cette fois-ci. Juste petit conseil, si tu ne sais pas, tu t'arrêtes et tu vois ce que te dis le MJ ^^. MJ K.]

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Medillen avait eu les réponses qu'il espérait même si ce soir encore il ne dormirait pas propre et encore moins dans un lit bien douillet, sans doute victime de sa radinerie.

La nuit était déjà bien avancé et la concentration de l'homme fut vaincu par son esprit qui s'embruma dans le sommeil...

Les sous bois au alentours de la ville étaient aussi bien habités que la cité qui les juxtapposait (^^)

Des bruits de pas presque imperceptible, telle était la compétence des voleurs... la nature avait aussi des prédateurs de diverses tailles... Et lorsque les deux sont au même endroit...

Une colonie de fourmi mangeuse de chairs commençèrent à s'attaquer au bras gauche de Medillen (-2 pv par tour et l'effet perdure après le combat) qui n'eut d'autre moyen de se réveiller... Mais les surprises ne faisaient que commencer... 1 voleur armé se trouvait à proximité et ne se géna pas pour frapper le radin (tout ça pour une pauvre chambre non prise... ) avec un gourdin invoqué (- 7 pv).

Autant vous dire que le réveil fut... Brutal.

[sorry erreur de débutant ^-^ allons-y gaiement]

Il était en train de faire un cauchemard. Un cannibale était en train de ronger son bras, petit à petit, et il ne pouvait rien faire contr cela. Il avait mal au bras. La sensation de brulure fut si intense que Medillen se réveilla en sursaut. Il constata avec horreur qu'il n'avait pas rêver dans le sens où son bras était bel et bien en train de se faire dévorer. A peine remis de cette macabre surprise, il se prit un méchant coup de gourdin dans la tronche. d'un brigand qui passait par là et qui ne trouva rien de mieux que de profiter du sommeil d'un honnête citoyen pour tenter de toucher le jackpot.

Le choc à la tête lui fut un peu salutaire. AU moins, il regagna rapidement ses facultés intellectuelles. Il comprit que Lubéria était une ville réputée pour sa dangerosité. C'était un véritable coupe-gorge et Medillen s'était conduit comme un amateur. Il commença par hurler des obscénités. Et ce malgré sa bonne éducation familiale qui ne lui autorisait guère ce genre d'écart.

Iconoclaste ! Bachibouzouk ! Bois-sans-soif ! Subis ma colère manant.

Il fit alors ce que font tous les types font après. Il cogna. Enfin, il commença par activer El Spada. La lame bleue s'élargit en un éclair et zébra l'espace de ses éclats. Le bandit se prit un bon coup (-16pdv) dans l'épaule. Après tout il n'avait pas à s'en prendre à un Ichimen ainsi. Il n'avait que ce qu'il méritait, lorsqu'on ne sait pas assassiner un type correctement dans son sommeil, on ne le fait pas que diable ! La plupart des personnes avaient du mal à se relever après un tel coup. Il s'occuperait des fourmis plus tard. Il s'autorisa toutefois à une petite pensée philosophique sur son radinisme.

*La peste soit l'avarice et les les avaricieux*

Heureusement, il se dit que son adversaire n'avait pas l'air des plus coriaces. Après avoir battu Feitan, ce type serait presque une récréation. Toutefois, il avait l'initiative et en plus des fourmis lui faisait un mal du diable. De plus, il avait laissé ses nouveaux ärms à sa forge, comme un con. Cela mettrait du piment dans le match.

Puis il se mit en garde, attendant la réplique adverse. Il était prêt à se défendre puis à contre attaquer violamment. Il s'autorisa une pointe de cynisme, avec son calme retrouvé.

J'espère que tu sais faire mieux que ça, sinon je vais être déçu. Si tu ne vaux pas la peine d'être battu ce sera vite expédié.

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PV = 42 - 2 - 7=33
PM = 25-20=5

Nom de l'Ärm : El Spada
Type d'Ärm : weapon
Elément de l'Ärm : métal
Apparence de l'Ärm sous forme scellée : un manche de sabre attaché à un bracelet de corde
Apparence de l'Ärm sous forme libérée : un sabre aiguisé
Puissance de l'Ärm : 16
Pouvoirs de l'Ärm : -
Coût d'Activation de l'Ärm : 20

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

[petit rappel à l'ordre sur les termes utilisables et ceux non utilisables... pas de mots injurieux que la moral réprouve sinon... tu risquerais de perdre ton personnage... ce qui serait facheux, tu ne trouves pas? donc modération est mère de vertue ^^ et tu ré-édites dans un language plus soutenu et tu poursuis le reste de l'aventure avec une langue plus saine Merci de ta compréhension]

Le combat que venait d'engager Medillen avec ce voleur ne semblait pas lui faire des plus peur... il avait extrèment confiance en lui ce qui était un très bon point à la base...

Citation :

J'espère que tu sais faire mieux que ça, sinon je vais être déçu. Si tu ne vaux pas la peine d'être battu ce sera vite expédié.

Le voleur ricana à la petite phrase de l'homme en face de lui, il doutait des capacités de combats des voleurs de Lubéria... c'est vrai que ce n'était pas des grands guerriers mais niveau vol et dérobade...

Le voleur se jeta sur Medillen et d'un mouvement gracieux passa sous son bras, lui dérobant son épée des mains et s'en servant immédiatement dans un mouvement circulaire (-16 pv, c'est bien ça? ^^ et l'action se passe si vite que tu n'as pas le temps de la désactiver avant d'avoir prit le coup.).

Le combat venait de s'inverser dans le rapport de force, les fourmis qui continuaient à le dévorer (-2 pv) et un voleur qui avait son ärm en main (donc pour te situer, tu n'as plus d'arme en main mais tes points de magie sont toujours consommés puisque l'ärm est active ^^).

[ J'ai édité ^-^' j'avoue que je m'étais emporté un peu largement. Gomei ! je ne ferais plus. Tu m'as dit que je ne peux pas désactiver avant le coup, donc je suppose qu'après le coup ca ne pose pas de problème ? J'aimerais aussi bioen savoir à quel moment on est => soir, matin, aprem etc...le temps qu'a duré ma sieste, approximativement ^^']

Medillen se vit subtiliser sa lame sous son propre nez. Le voleur fut si agile qu'il arriva même a retourner sa lame contre lui. Il avait précédemment pensé qu'on ne se relevait pas facilement de ce genre de coup. Il avait parfaitement raison. Il encaissa durement la lame dans son ventre. Le sang coula abondamment, comme libéré de sa prison de chair. Qui plus est, les fourmis commencaient réellement à ronger son bras gauche.

C'était là une bien grossière erreur de sa part de sous-estimer les voleurs de Lubéria. Ils étaient de loin beaucoup plus redoutables que les petits brigands qu'il avait affronté chez Feitan. Leur style était beaucoup plus subtil, gracieux, aérien. Il se demanda un instant si Feitan, le brigand qu'il avait trucidé, avait aussi été initié aux même techniques de combat... Il n'y avait pourtant pas eu recourt. Ou alors il avait plus d'honneur qu'on ne le croyait.

Il balaya rapidement de son bras droit son bras gauche pour expédier au loin sufisamment de bestioles, du moins l'espérait-il. Puis il claqua des doigts et désactiva El Spada qui redevint un simple manche de sabre dans les mains du voleur. Il ne put réprimer une grimace de dégout. Ces gens n'avaient aucun savoir vivre pour utiliser ce genre de techniques de combat déloyale.

Et pire, son manche était encore dans les mains de ce moins que rien. Une colère monta en lui. Il avait envie de le dépecer, de le réduire en charpie, de...

Il se ressaisit rapidement avoua alors à son adversaire.

La réputation de lubéria en matière de roublard est très bien fondée. Vous êtes encore pire que je ne vous imaginais. Vraiment aucun honneur. Je suppose que c'est ça qui fait votre fierté...pour autant que vous en ayez une. Vraiement, c'est l'image même de la décadence que j'essaye de combattre...

Medillen posa ensuite une analyse quasi instantanée de la situation. S'il activait maientant un ärm de type épée, le voleur pouvait mourir ce tour ci et ne plus lui poser problème. Toutefois, il pouvait très bien y résister et retourner une nouvelle fois l'ärm contre Medillen. Ce coup là serait alors fatal.

L'autre alternative, beaucoup plus stable, consistait à activer un ärm que le voleur ne pouvait pas voler, à supposer qu'il remarquerait déjà son activation. Un ärm de défense qui le protégerait aussi des petites bestioles sur son bras gauche. Il activa ses thongs et fonca sur son adversaire qu'il rua de coup de poings. Ce n'était pas des coups particulièrement meutriers, mais il avait le bénéfice de faire diversion sur l'activation de ses thongs (armure 5) et de garder le corps à corps avec lui. Il ne voulait prendre aucun risque. Si le voleur s'enfuyait il était prêt à lui sauter dessus pour lui empêcher toute fuite. De toute facon avec son armure il était désormais moins vulnérable.

Le tour d'après il activerait puis désactiverait une ärm aussi puissant qu'el Spada. S'il survivait jusque là, alors il méritait vraiment le titre de roublard débrouillard.

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PV : 33 - 2 - 16 = 15
PM = 5 + 20 = 25 - 10 = 15

Nom de l'Ärm : Tongs
Type d'Ärm : weapon
Elément de l'Ärm : neutre
Apparence de l'Ärm sous forme scellée : Des tongs en bois
Apparence de l'Ärm sous forme libérée : Des tongs en acier
Pouvoirs de l'Ärm : armure 5, ne peut pas parer
Coût d'Activation de l'Ärm : 10

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Le voleur avait réussit un coup d'éclat en blessant sérieusement l'homme du sous-bois... et ce dernier n'avait visiblement pas apprécié le résultat de l'art encestrale des voleurs de Lubéria...

L'arme de Médillen se désactiva des mains de l'assaillant qui n'avait plus rien en main pour se défendre mais il n'allait pas rester les mains vides très longtemps... Il fit apparaitre un petit coutelas à la lame très effilée...

Il se jeta sur Medillen est l'attaque vigoureusement (-7 pv sans la réduction d'armure donc en vrai -2 pv), un peu de sang continua de couler... une nouvelle plaie au bras que les fourmis s'empressèrent d'envahir (-2 pv avec les fourmis ^^).

[donc les fourmis agissent comme un poison ^-^ zut j'espérais les contrer de cette manière]

Le coutelas ne s'enfonca guère dans son épiderme grâce à ses thongs qui le protégeait en partie des attaques externes. Les fourmis, par contre, s'investirent dans la blessure ouverte et la souffrance l'envahit. Il se maudit mentalement, il croyait, à tord, que ses thong allaient le protéger de ces vermines. Il avait tort. Heureusement, le couteau ne fit guère de dégats. Il était terriblement fatigué. Toutefois, ce rythme de combat lui convenait mieux. Il risquait moins et il s'assurait sa survie. Il pouvait souffler un peu.

Il saisit de sa main gauche un manche tout brun, et une lame grise zébra l'espace. Elle frappa le voleur au ventre (-8 pdv). Elle mordit sa chair bien plus encore que ne l'avait fait son coutelas et les fourmis réunit. Puis il désactiva sa lame immédiatement, pour éviter qu'elle ne se retourne contre son propriétaire. Et cela était une chose que Medillen ne supporterait plus...

Il se tourna vers son adversaire, la garde haute, s'apprétant pour la suite du combat. Son bras le brulait autant que la blessure au coutelas, mais ce n'était rien sans doute comparé à la blessure qu'il avait infligé lui au brigand. Il décida d'énerver un peu son adversaire. Ce n'était pas pour faire le malin, mais plus pour le déconcentrer. Cela pouvait se révéler à son avantage, et une victoire psychologique restait une victoire honorable.

Et ceci est une technique de combat personnelle combiné à une technique de forge d'ärm de mon village. L'union de ces deux savoirs ne devrait avoir aucun mal à battre tes tours pitoyables de passes-passes. Et je ne peux pas perdre, l'honneur des Ichimen reposent sur mes épaules.

A tout avouer c'était un peu exagéré. Les ichimens se fichaient probablement de son sort. Il n'était qu'un soldat de bas rang, arrivé depuis peu. Même s'il avait fait bonne impression à son chef lors de son arrivée, il était loin d'être un pilier pour les ichimens.

Il tenta ensuite d'amadouer son adversaire. Après tout il restait un être humain. Et si faire du mal à son prochain n'était pas proscrit dans son code d'honneur, il en restait néanmoins gêné et voulait éviter la mort de quelqu'un sur sa conscience.

Rends toi et je ne te ferais pas de mal. Je peux être clément, et tu ne gagnera rien de moi, sinon une mort rapide dans le ventre. Le but de ma visite n'est pas te d'occir, même si je le ferais sans aucun doute si tu continue de t'obstiner. Je dois rendre visite à un grand voleur.

Après tout, le voleur pouvait aussi rester raisonnable et peut-être même se rendre sans histoire. Medillen ne s'y fiait pas, mais l'idée méritait d'être exposée.

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PV = 11
PM = 15-10=5+10=15

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

[Je vois que le coups de ton ärm qui se retourne contre toi, t'as profité ^^. ]

Le voleur était salement amoché des coups qu'il avait reçu de la part de Medillen et finalement il se retrouva une nouvelle fois blessé par un ärm à la structure un peu bizarre qui avait zébré le manche brun.

L'assaillant reçu l'attaque et ne sembla pas broncher, il resta debout. Tandis que Medillen tentait une attaque psychologique...

Citation :

Et ceci est une technique de combat personnelle combiné à une technique de forge d'ärm de mon village. L'union de ces deux savoirs ne devrait avoir aucun mal à battre tes tours pitoyables de passes-passes. Et je ne peux pas perdre, l'honneur des Ichimen reposent sur mes épaules.

l'homme ne répondit pas.

Citation :

Rends toi et je ne te ferais pas de mal. Je peux être clément, et tu ne gagnera rien de moi, sinon une mort rapide dans le ventre. Le but de ma visite n'est pas te d'occir, même si je le ferais sans aucun doute si tu continue de t'obstiner. Je dois rendre visite à un grand voleur.

Le voleur avait toujours la station deboit, il était titubant et ... finit par tomber. Il était inconscient depuis un bon moment et n'avait par conséquent rien entendu de ce qu'avait pu lui dire Medillen.

Le combat était finis mais les fourmis étaient toujours là... continuant à nécroser les chairs... (j'avais prévenu que l'effet se poursuivait après le combat ( ^^ ).

Son adversaire était resté de marbre devant sa tirade. Medillen commença à soupirer, pensant devoir continuer le combat lorsque son ennemi tomba à terre, inerte. L'art combiné de Medillen avait eu raison de lui, et le sang qui coulait de ses blessures confirmait cette supputation. Il ne ressentit pas de pitié pour l'homme blessé. Il avait eu ce qu'il méritait. Qui plus est, il avait attaqué Medillen dans son sommeil. Qu'il pourrisse en enfer ! Il activa néanmoins de nouveau sa dague.

Pour éviter toute ruse de la part du voleur qui pourrait très bien simuler sa mort, Medillen frappa dans la main de son adversaire (-8 pdv), pour le faire lacher son coutelas. Sa dague se planta dans sa chair sans résistance. L'homme semblait bien inconscient. Il récupéra ensuite la forme scéllée d'El Spada sans le ménager. Au passage, il regarda rapidement s'il ne trouvait pas une bourse à délester...

Spoiler:

Il subsistait toutefois le problème des fourmis mangeuses de chairs. Il essaya de les balayer hors de son bras avec le revers de sa main. Ce n'était pas chose aisée. La vermine s'aggripait bien. Elle grouillait sur son épiderme et dans ses blessures. Il tenta aussi d'en écraser quelques unes. Il sentit leur capace de chitine résister de manière infinitésimal avant de craquer sous sa pression. Cette technique n'était toutefois sans doute pas super efficace, du fait qu'il ne pouvait pas en écraser vingt à la fois.

Medillen se dit qu'il aurait du mal à s'en débarasser comme ca... Medillen les assimila à des animaux affamés. Ils ne partiraient pas sans avoir mangé à leur faim, ce qui pouvait bien emporter la totalité du bras gauche de Medillen. Ca le brulait, il avait terriblement mal... Il ne resisterait probablement plus tellement longtemps à leur mandibules qui coupaient ses chairs.

Ce dont il avait besoin, c'était d'une méthode.

Il soupira, puis regarda le corps inerte du voleur. Une idée lui traversa l'esprit comme un éclair d'ingéniosité - ou de folie.

Et puis après tout... pourquoi pas ? Si les fourmis tiennent tant à se repaitre de chair...

Il s'agenouilla près de son adversaire. Il pose son bras gauche près d'une plaie béante qui parcourait le brigand. Il s'appliqua ensuite soigneusement à repousser de la lame de sa dague les fourmis vers le corps, cadavre potentiel, et garde manger certainement intéressant. Lorsque les fourmis font face à un obstacle, elles ont toujours le même comportement. Elles le contournent, ou font demi-tour. Comme la lame était grande, elles prendraient sans doute la deuxième option. Medillen racla sa chair et essaya de les repousser dans le sang et la blessure du voleur... Il n'hésita pas à racler énergétiquement, puisque toujours protéger par l'effet magique de protection de ses thongs.

Il espérait qu'un de ses plans allait marcher...

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PV = 11-2= 9
PM = 15 - 10 = 5 [ + 5 PC training gate, je peux les mettre mnt ? = 10/30 dans ce cas alors sinon tant pis ^^]

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

(Non tu ne peux pas mettre tes PC de la training en cours de RP. Tu devras attendre la fin.)

Medillen voulut s'assurer de la mort de son adversaire et pour se faire, lui planta sa dague dans la main... Le voleur était bel et bien mort. Ensuite l'homme, qui devait ressentir les effets de la ville qu'il n'avait pourtant visité qu'une seule fois, s'abaissa à fouiller le cadavre de son aggresseur. Mais il ne trouva rien de plus qu'un petit mot.

Spoiler:

Il tenta ensuite de se débarasser des fourmis carnivores en voulant se décharger de ses dernières dans les blessures du défunt. un petit nombre d'entre elles migrèrent mais la majorité continuèrent simplement à le dévorer (-2 pv). Visiblement la solution envisagée n'était pas la bonne.

PV = 9-2=7[comme ca j'oublie pas^^]

Le raclage de peau n'ayant pas marcher, Medillen ne voyait plus guère que deux solutions envisageables pour éviter que sa blessure ne s'empire. Il foncça contre un arbre son bras en premier dans l'espoir, vain sans doute, de les écraser toute en une fois. Il répéta l'opération longtemps. En soi sa seule autre alternative qu'il envisageait n'était pas simple à effectuer.

* Je pourrais aussi tenter de les noyer dans de l'eau. L'adhérence à la peau diminuerait et je pourrais les faire partir plus facilement avec ma dague.*

Medillen se demanda alors s'il ne coulait pas près de cet endroit une rivière. Il fit un effort de mémoire [ A-toi de voir si je suis passé à coté ^^']. En fait n'importe quel plan d'eau ferait l'affaire, mais les rivières avaient l'avantage de faire du bruit, donc il devrait l'entendre. Normalement les grandes villes étaient toujours construites près d'une réserve naturelle d'eau potable. Il esperait que Luberia ne fasse pas exception à la règle. Dans le doute, il continua d'écraser son bras contre un arbre. Ses thongs étant activé il ne devait pas se prendre beaucoup de dégat.

[je crois que c'est mon post le plus court sur ME mais j'ai rien d'autre a dire T_T]

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

(je vais faire encore plus court que toi ^^)

Medillen avait essayé bien des trucs bizarres pour se débarrasser de ses fourmis et il en essaya encore un... Il se frotta sur un arbre, l'échauffement qu'il produisit mélé à l'état de son bras, lui fit une brûlure (-1 pv, t'as qu'à frotter moins fort ^^) que les tongues ne purent contredire...

Alors qu'il trouva un moment de calme, il entendit un petit courant d'eau s'écouler, il n'était pas très loin, à peine une centaine de mètres... mais en attendant les fourmis continuaient leur travail (-2 pv).

PV = 7-2-1=4, maman im gonna diiiiieee, 2 post pour m'en débarasser ^^'

Se frotter à l'arbre avait été une fausse bonne idée. Il s'était irrité le bras sans pour autant faire partir les fourmis. Décidemment, c'était là l'adversaire le plus coriace qu'il avait du affronter. Qui pouvait croire que de si petites bestioles pouvais dévorer autant de chair ? Elles auraient donc toujours autant faim ? Medillen ne pouvait qu'être dégouté par la voracité et la gloutonnerie de ces êtres minuscules, si vulnérables et insignifiants. Et pourtant ...

Et dire que sa mère lui racontait, quand il était petit, que les petites bêtes ne mangeait pas les grosses. Elle avait chaque fois un sourire aux coins des lèvres lorsqu'elle ressortait cette phrase. Encore et toujours. Sa mère... Un brin de nostalgie s'empara de Medillen. Après tout cela faisait quatre ans qu'il avait quitté le cocon familiale. S'il refusait de voir son père, le cas était différent pour sa mère. Elle s'amusait toujours avec lui. Elle le surprenait parfois, au détours d'un couloir ou caché derrière un arbre, avec son natür ärm d'eau. Un ärm domestique inutile pour le combat, mais qui pouvait se révéler très pratique pour les taches quotidiennes.

Derrière ses lunettes-ärm, les yeux de Medillen se mirent à briller. Un éclair de lucidité le traversa, lorsqu'un souvenir fugace de sa mère revint à lui. Elle lui avait jetté de l'eau sur lui. Et lui avait glissé par terre. L'eau diminuait l'adhérence entre deux corps. Cela pouvait être le meilleur moyen de se débarasser de ces parasites. D'autant plus qu'à leur taille, un goutte d'eau était mortel. Alors un torrent...

Il entendait justement un glougloutement au loin. Il estima la distance à une centaine de mètres. Il s'élança avec le peu de vigueur et d'endurance qui lui restait. Il courut jusqu'à perdre haleine entre les arbres de la forêt. Son visage restait serein et ne trahissait pas sa détresse intérieur. Toutefois, si ce dernier plan ne marchait pas, cela serait probablement son dernier en tant qu'ichimen. Il arriva au cours d'eau. Ce n'était pas un fleuve, ni une rivière, ni même un torrent. C'était un ruisseau d'eau claire et pure qui jouait avec la mousse et les rochers, qui dansait avec les éléments avec une innocence certaine de la nature qui n'a pas été corrompu par l'être humain. Etrangement, il crut voir en ce ruisseau un enfant qui jouait sans comprendre son monde extérieure.

Rapidement, Medillen releva sa manche gauche et immergea complètement son bras souffrant. L'eau était froide. Son bras brulait. Le contact avec le liquide apaisa ses souffrances, enfin le terme anesthésier était sans doute plus adapté. Les fourmis étaient toujours là. Il frotta énergétiquement avec son bras droit pour les faire disparaitre dans l'écume de l'eau courante. Et l'eau en aval se teinta de rubans rouges qui s'étendait comme des étendarts infinies de ses blessures ouvertes. Cette fois-ci il espérait vraiment qu'elles allaient partir ces maudites créatures.

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

[Bon je vais être sympa avec toi sur ce coup là... j'ai grandement hésité à faire remonter les petites bête sur ton épaule vu que tu ne t'es immergé que le bras... mais bon c'est pâque...]

Medillen remémora un souvenir d'enfance qui éveilla un brin de nostalgie chez lui et un sentiment de vide à la pensée de sa mère. Il se souvint également que l'eau n'était pas très appréciée des petites bestioles c'est pourquoi il s'exténua à courir jusqu'à un petit ruisseau ou il plongea largement son bras et s'acharna à se débarrasser des fourmis; Ces dernières furent emportés par le faible courant et le sang qui les attirait toujours mais les menait à leur perte...

Medillen était finalement débarrassé des insectes. (Tu as vu comment d'une petite situation on en fait un combat? ^^)

[ouf enfin débarassé ^^]

* Et bien ce n'est pas passé loin. Je suis bien content de m'en être tiré de ces bestioles. Finalement un plan à marché. Mes capacités cognitifs ne sont plus ce qu'elles étaient*

Medillen eut un soulagement lorsque la dernière des bestioles quitta son bras. Il nettoya rapidement ses blessures, et les pansa avec des pans de son kimono. C'était surtout son bras qui n'était pas beau à voir, et il l'enroula entièrement de tissus, quitte à se servir des vêtements du brigand. Il repartit enfin pour la ville. Il devait trouver Tidan sur la place de la fontaine. C'était son unique objectif et il avait perdu du temps bêtement dans ces bois. Il gromela. Il avait beau aimé les combats celui-ci avait été nettement à son désavantage avec ces chtites bestioles. Il les maudirait certainement toute sa vie. Il n'oublia toutefois pas que c'était là sa propre erreur, il aurait mieux fait d'aller dormir dans une auberge, quitte à débourser un prix faramineux pour une chambre miteuse.

Medillen quitta la forêt sans hâte. Ses blessures lui faisaient mal. Toutefois il ne voulait pas que cette impression ressorte de lui, sinon qui sait quel charognard pourrait encore lui tomber dessus ? Des voleurs auraient vite fait de lui transpercer le torse. Il Il décida d'agir normalement et de ne pas montrer sa souffrance. Sa placidité habituelle l'aidait dans ce travail. Et puis il s'était rapidement nettoyer dans le ruisseau pour cela.

Il arriva en ville et chercha pour une place avec une fontaine. Cela ne devait pas être trop dur à repérer. Il fit attention au bruit, et demanda son chemin aux personnes qui semblaient de bonnes volontés, pour autant que cela existait dans cette ville pervertie. Ensuite il n'aurait qu'a trouver un type avec des lunettes de soleil... Et enfin il pourrait remettre à Kendra la lettre de son amour.

Le métier de messager n'est pas de tout repos !

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Medillen était finalement revenu en ville et avait cherché tant bien que mal des âmes charitables pour le renseigner sur ce type avec les lunettes de soleil, mais à chaque fois qu'il commençait à entrer dans les détails du personnage toutes les personnes feignaient une urgence et ne donnait pas l'information tant attendue...

Il devait se débrouiller à trouver l'homme par ses propres moyens car personnes ne se rangeait du coté de Medillen, mais on pouvait s'y attendre dans une ville de voleurs....

Le visage de l'homme trahissait son manque de vitalité avérée mais plus dangereux que cela les personnes environnantes commençaient à l'observer d'un oeil malsain...

[en soi je ne voulais pas parler du type aux lunettes de soleil noir, mais juste demander le chemin pour arriver à la place de la fontaine =/ je me doute bien que parler ouvertement d'un voleur n'est pas la chose a faire, enfin soit ]

Medillen étouffa un juron lorsqu'une énième personne prétexta une course urgente à faire pour éviter de lui parler. Ces gens cachaient mal leur gêne évidente. Tidan devait être un hors-la-loi assez réputé, et probablement difficile d'accès. S'il causait tant de peur, c'était peut-être aussi parce qu'il était capable du pire. L'ichimen devrait donc marcher sur des oeufs en traitant avec lui.

De manière plus subtile, il tenta d'accoster les gens non pas en leur parlant de Tidan, mais plutôt de l'endroit où il devait être. Il demanda le chemin vers la place de la fontaine, tout en restant sur de grandes artères de communication. Ainsi, il n'évoqua pas le nom porteur de sens. Après tout il n'en avait pas besoin il savait où se trouvait Tidan. Il avait juste besoin de savoir où se trouvait cet endroit. Mais où se trouvait donc cette place de la fontaine ?

Une place devait être visible par les grandes avenues, et c'est pourquoi Medillen empruntaient celle-ci tout en continuant de demander son chemin aux passants. Qui sait ? Peut-être tomberait-il enfin non pas sur une âme charitable, mais au moins sur quelqu'un qui voudrait bien lui donner le bon chemin à prendre. Toutefois, comme il n'y croyait guère, il continua de se balader sur les grands boulevards, et essaya de repérer une fontaine.

SI personne ne lui répondrait d'ici là, il irait dans une échoppe pour jeter un coup d'oeil à une carte de la ville, voir à l'acheter puisqu'il était évident que dans cette ville tout se monnayait.

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

[Désolé la tournure de ta phrase m'avait fait pensé à autre chose, on va trouver t'en fait pas, au fait je te rappelle que tu es toujours sérieusement blessé, alors moins de vigueur dans tes déplacements ^^ ou soignes toi... En tout cas tu as bien compris le principe de cette ville... tout se monnaye... XD... qui a dit que j'étais sadique??? tout la bas je t'ai vu... reviens là...]

C'était un jour de grand marché, il y avait beaucoup de monde dans les rues, les gens se marchaient presque sur les pieds mais l'Ichimen tenait bon...

Medillen allant d'échec en échec se décida à changer de tactique de recherche, il emprunta les grands axes de la ville et demanda ou pouvait bien se trouver une place avec la fontaine... Au fur et à mesure qu'il progressait et qu'il redemandait son chemin les gens l'envoyaient dans tous les sens, un coup vers le nord-est de la ville, une autre fois vers le nord-ouest ou bien encore au sud de la ville... La ville était tellement grande qu'il devait demander régulièrement son chemin et cela expliquait qu'il... tournait en rond...

[J'ai volontairement omis la dernière phrase avec la carte car je ne sais pas si tu voudrais toujours l'avoir après mon post mais si tu en veux une, tu le rediras au prochain post...]

Le Destin n'avait pas fini de se jouer du pauvre Ichimen qui se balada en pur perte dans toute la ville. A croire que les gens faisaient EXPRES de le balader de gauche à droite, et ce le plus loin possible de sa destination original. Un instant in pensa même à aller dans la direction opposée de ce qu'on lui indiquait. Toutefois, il fit face à son rationnalisme. Le temps s'écoulait et ses blessures lui faisait toujours souffrir. Il n'était pas en bonne forme, et c'était le moins qu'on pouvait dire. Il était hors de question de continuer ses recherches dans un tel état. La nuit pourrait arriver et dans son noir manteau peut-être que des coup de poignards se perdraient dans son dos. Cette pensée fit frissonner Medillen qui ne craignait pas en général le combat. Non, sa véritable peur était de se faire abattre dans le dos avant qu'il n'ait pu dégainer sa lame.

Il s'arrêta un instant pour faire le point sur ses différentes options. Il s'assit contre un mur un instant, pour souffler aussi. Ses pieds lui faisaient martyr, peut-être pas autant que ses blessures du combats, mais cela restait une plaie pour lui.

Il pouvait certes prendre le risque de continuer de se balader dans Lubéria, mais c'était un problème sans solution, sinob on peut-être une embuscade ou un traquenard. Sa bourse était des plus remplie et relativement mal protégée depuis son court et assez chaotique repos en-dehors de la ville. Il était une proie facile. Quand la fatigue baissera ses sens, des rapaces en profiteraient certainement.

Il existait un proverbe assez connu dans ce monde, rien ne se perd, rien ne se crée. L'échange équivalent. Dans Lubéria, rien ne se donnait et tout pouvait se perdre. Il n'aurait pas d'information avant de débourser encore de sa poche. L'avare en lui fulmina de colère. L'homme blessé, par contre, analysa calmement cette solution. Elle était un pas plus proche de la résolution de cette quête.

Toutefois, il fallait essayer de prédire avec un minimum de clairvoyance et de logique ce qu'il pouvait se produire par la suite. Dans cette ville de danger, rien ne lui prouvait que Tidan n'allait coopérer gentiment. Peut-être était-il d'un genre assez sournois. Le meilleur à faire serait donc de reprendre des forces avant d'aller le voir. Medillen devait probablement débourser encore de l'argent - sauf s'il se montrait assez persuasif. Il avait entendue dire que les voleurs de Lubéria se considéraient comme une grande famille... C'était peut-être le moment de vérifier cette rumeur et d'en tirer avantage.

Il se décida alors pour une destination qui conciliait ces deux visions. Une auberge. Un lit pour se reposer et panser convenablement ses blessures, un gérant pour trouver des directions dans la ville. Il n'avait probablement pas intérêt à mentir à un de ses clients. Il s'était décidé. Il se leva et se mit en marche...

[Si je ne trouve pas d'auberge je m'arrête à celle du début de la quête elle était près de l'entrée de la ville donc ca au moins je ne dois pas avoir de mal à trouver. Je ne commence pas encore le dialogue avec l'aubergiste au cas, improbablement mais possible néanmoins, où un pépin s'annonce. Si possible j'aimerais aussi que la quête ne soit pas trop longue j'aimerais me libérer pour la légion ardente mnt que le wargame touche presque à sa fin]