Terre d'ailleurs...

Nombre de messages : 568 Date d'inscription : 09/03/2007

Le soleil était bas à l'horizon, les arbres voyaient leur première fleurs apparaitre. Les champs étaient remplit de paysans qui travaillaient la terre de toute leur bonne volonté espérant que la saison serait meilleure que celle de l'année passée. Ils devaient aussi penser aux impots que l'Empire allait leur réclamer, beaucoup se demandaient si ils pourraient survivre avec ce que leur laisserait le régime impérial...

Adonis était présent sur les terres de cette petite contrée qui étaient sous son joug par le passé, mais depuis la révolte qui amena les blessures d'Adonis et son envie de vengeance la région lui était hostile...

Un des paysans interpela ses camarades de labeurs.

"Hé les gars! Regardez c'est ce traitre d'Adonis le fourbe!"

"Rentre chez toi, cette terre n'est pas la tienne! Tu n'as que ce que tu mérites!!! Les dieux t'ont épargné pour que tu vives avec tes peines!!!!"

Une escouade impériale passait dans le coin et à leur vue les voix se turent pour se reconcentrer sur leur travail...

[Cette quête est comme vous vous en doutez pour Adonis.]

Adonis se promener sur ses ancienne terres quand un groupe de paysans l'appostrophérent pour lui dire de se retirer. Ils les reconnu pour être des anciens paysans sous sa domination.
Ils voulu aller leurs expliquer son point de vu à l'aide de sa rapiére mais il les vit se tourner prestament. Il regarda dans la direction que ceux-ci et vit un groupe de soldats. Il voulait faire taire ses rustre de sa propre volonté mais il ne pouvais s'opposer à un groupe armé de l'empire.

"Certe, ses terres ne sont plus les mienne, mais vous ne pouvais point me faire partir. Et si vous voulez le faire je vous attend, à moin que vous ne soyer tros lache pour m'affronter, moi qui sius seul ou que vous ayer peur de la troupe qui arrive."

Il espérer que les paysans aller répondre à sa provocation. Il était pas en faute face aux soldats.

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"Certe, ses terres ne sont plus les mienne, mais vous ne pouvais point me faire partir. Et si vous voulez le faire je vous attend, à moin que vous ne soyer tros lache pour m'affronter, moi qui sius seul ou que vous ayer peur de la troupe qui arrive."

Les paysans ne prirent pas la peine de répondre à la provocation, sans doute par peur des gardes qui approchaient. Néanmoins ils regardèrent Adonis en pestiférant et en lachant des insanités que la morale réprouve.

Lorsque l'esquade de l'empire passa à proximité d'Adonis l'un d'eux, le chef sans doute, fit une remarque.

"Hé les gars, regardez un paysan qui se prend pour un roturier. Hé papi, va falloir que tu ailles faire la soupe, tes petits rats des champs vont avoir faim à travailler comme ça."

Le chef de cette petite équipe passa derrière Adonis et d'un coup de botte envoya l'homme dans le champ où les paysans travaillaient. Malheureusement pour lui, il attérit dans une flaque de boue qu'ujne bruine du matin avait créé. Adonis était maintenant couvert de terre et les gardes riaient à gorge déployée, les paysans s'y mirent à leur tour se moquant de l'homme.

[Alors tu ne regrettes pas d'être venu sur mon continent? ^^]

Adonis se retrouva couvert de boue, ce qui aller surrement abimer son costume. Il se releva sous les rires des paysan et des garde mais garda son calme.

"Si tu veut que je prépare la soupe pour mes "rats des champs", il va falloir que tu vienne leur donner un coup de main si tu veut manger mon gros. Car tu ne vaut pas mieu qu'eux."

Il n'allais pas se laisser traiter de la sorte par un gueux, même s'il était soldat de l'empire.

S'attendant à une réponse plus ou moin virulent il activa sa chevaliére.

Spoiler:

Il vit désormer les mouvement qu'effectuer les hommes autour de lui comme si ceux-ci était au ralenti.

Voyant que l'homme encaissait la réplique d'Adonis, ce qui ne devait pas arriver souvent, ceului-ci voulu le pousser encore un peut.

"Et bien alors, tu ne répond pas. Tu à peur d'un "PAPY" mon gros."

[Il m'as l'air sympatique comme tout ton continent. On peut se foutre sur la gueule au moindre mot^^]

PV : 50
PM : 10-10=0

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Adonis avait sa fierté et sa dernière provocation énerva sensiblement le chef de l'équipe de soldats impérial qui était au nombre de 3 (Le chef plus 2 soldats.).

"Et bien alors, tu ne répond pas. Tu à peur d'un "PAPY" mon gros." avait défié Adonis.

Le plus gardé de l'esquade envoya l'un de ses subordonnés donner une correction à cet insolent... Adonis l'esquiva sans trop de difficulté... mais ne vit point le second garde qui lui mit un grand coup de pied dans le derrière le faisant rechuter dans la même flaque de boue que précédemment, reprovoquant le rire de tous. Le chef de l'esquade s'approcha du roturier, posa son pied sur son dos (ça neutralise ta célérité si tu peux pas bouger, non? ^^). Le soldat en chef qui avait une lance, planta le fer dans la fesse droite d'Adonis (- 7 pv).

"Je serai toi je ne ferai pas le malin..." dit le responsable de l'équipe impériale avec beaucoup de sévérité.

Adonis fut une nouvelle fois pousser dans la boue, puis pour couronner le tout, il resut un coup de lance dans la fesse droite.
Il ne pouvais accepter cela. Il profita du sol glissant pour se projeter en avant et ainsi laisser le garde qui le maintenait au sol loin derriére. Dans un même mouvement il se tourna sur le dos et se releva tant bien que mal.

"Tu est tros lache pour me faire face seul. Il faut que tu envoie tes sbire faire la basse besogne. Dit-il au chef des garde. Puis se tournant vers les autre. Et vous, vous vous laissez donner des ordre par cet homme sans honneur. Il ne frrais rien sans vous alors que vous pourriez faire se que vous voulez sans lui."

Adonis désactiva sa chevaliére.

"Aiguillon"

Spoiler:

Une rapiére apparru dans sa main et il la pointa vers le chef.

"Es-tu un homme capable de me faire face seul ou bien dois-tu obligatoirement demander à tes hommes?"

Adonis se prépara à faire face à toute attaque en se méttant en garde, bien que sa rapiére ne pouvais absorbé de choc. Mais seul lui le savais.

PV : 50-7=43
PM : 10-10=0

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"Tu est tros lache pour me faire face seul. Il faut que tu envoie tes sbire faire la basse besogne. Dit-il au chef des garde. Puis se tournant vers les autre. Et vous, vous vous laissez donner des ordre par cet homme sans honneur. Il ne frrais rien sans vous alors que vous pourriez faire se que vous voulez sans lui."

Adonis multipliait les provocations mais il était tombé sur un soldat intelligent qui ne répondait pas à ses avances provocatrices.

"Es-tu un homme capable de me faire face seul ou bien dois-tu obligatoirement demander à tes hommes?"

Continuant d'écouter calmement les sornettes de l'homme, le chef des soldats se contenta de s'avaner d'un pas vers Adonis.

"Monsieur je vous trouve bien provocateur, vous me faites perdre mon temps et vous outragez l'empire en me provoquant, je ne puis en rester là! Garde arrêtez cet homme pour outrage à l'Empire!"

Saisissant Adonis de part et d'autre de son costume, les deux gardes attachèrent les mains de l'homme, désactivant son ärm au passage...

Adonis fut mit en prison dans la petite ville qui était toute proche des champs où avait eut lieu l'incident. A présent il était dans une cellule, seul au milieu de dizaine de prisonniers qui avaient fait on ne savait quel méfaits. Son caractère provocateur lui avait apporté des ennuis, si seulement il n'était pas aussi sanguin dans sa manière d'être...

Adonis se retrouva dans une cellule, entouré de criminels. Il s'approcha de la fenétre barré et vit les champs qui entourés quelque maisons.

La cellule était malodorante et crasseuse, on avais du mal à pensé que l'on pouvais vivre le moindre momment dans ces conditions.
Adonis quitta la fenétre pour aller vers la porte afin de voir si un garde était présent. Il ne vit personnes mais entendait des bruits de discution un peut plus loin. Il ne pouvait pas entendre ce qui se disais à cause de la distance et des bruits que fesait ses "colocataires".

"Gardes. Je doit parler à votre chef. Il y-a maiprise sur la personne."

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Adonis n'apprécia pas vraiment la cellule dans laquelle il se trouvait, il en fit d'ailleurs très rapidement le tour... Il alla de la grille à la fenêtre, 4 pas, et revint à la grille, 4 pas, tout ceci était absurde qu'une personne comme lui. Une odeur nauséanbonde lui prit le nez et le piqua, il y avait une odeur de... pourriture à coté de lui.

Adonis fit demander un gradé de la prison car il criait à tue tête qu'il y avait une méprise.

"Quel est l'abruti qui braille comme ça?" s'écria une voix rauque.

Un homme avec une forte corpulence approcha, tout en muscle.

"Qu'est ce tu veux le croulant? tu as un problème? le voisinage te plait pas?"

L'armoire à glace regardait Adonis de travers, ce devait être le gardien de cette prison.

Adonis vit le garde arriver avec un air grognon.

"T'as trouver juste gamin. La compagnie est médiocre, mais c'est pour voir le chef de la garde que j'ai appeler. Et si possible en particulier.

De plus je croit qu'il y-a un de vos pentionnaire qui est malade au fond."

Adonis n'avait qu'une envie, c'était de sortir de là même si il fallait employer la maniére forte. Mais cela en dernier recour.

[Désolé je ne suis pas tros inspirer pour une évasion de prison... C'est pas comme dans "Prison Break"]

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"T'as trouver juste gamin. La compagnie est médiocre, mais c'est pour voir le chef de la garde que j'ai appeler. Et si possible en particulier.

De plus je croit qu'il y-a un de vos pentionnaire qui est malade au fond." répondit Adonis au garde.

"Hé bien c'est moi le chef ici, boulet!" ricana l'homme

Il regarda au fond de la cellule de qui parlait l'homme qu'il avait en face de lui et se mit à rire...

"Ha tu parles de ce Chester? C'est un bon à rien qui ne sait pas quoi faire de sa vie alors il reste là à rien faire.... même pas se laver... tu as de la chance, tu as tiré le gros lot avec cette cellule. Bon ben moi je me casse, rappelles moi quand tu voudras me parler en de meilleur propos..."

Le chef de la prison repartit avec ses compagnons, manger et boire plus que de raisons, leur petite fête égayait toute la prison... certain prisonnier semblait même profiter de ce mouvement de joie qui devait être rare ici...

Adonis compris qu'il ne pourrais rien tiré du chef de la prison pour le momment.
Il décida de se trouver un coin tranquil dans la cellule à l'écar des autre prisonnier. Il resta tout de même sur ses garde pret à activer sa rapiére.

*Il va faloir que je me fasse mieu voir du garde si je veut sortir de là. De plus je ne sait même pas pourquoi je suis ici. Ce sont ces gueux qui m'on provoqué.*

Il resta à gromeler et à cherché des moyen pour sortir, quand le sommeil le pris. Il lutta pour ne pas s'endormir mais c'éait plus fort que mui. Même l'odeur pestillentiel ne réussi à le maintenir éveiller.

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Adonis s'endormit dans la prison et sa nuit fut assez courte puisqu'il fut réveillé par un liquide inconnu... Lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit un soldat avec un seau d'eau vide.

"Hé papi, p'tit dej' des corn flakes et du lait..."

Le soldat jeta les céréales et le lait sur Adonis, le couvrant de la mixture que ça faisait. Les corn flakes s'étalèrent parterre, s'éparpillant au quatre coin de la cellule, le lait se renversa sur le sol... Le petit déjeuner semblait être pour le plancher plutot que pour les prisonniers...

"Bon appétit Monsieur..." se moqua t'il.

Il repartit voir ses compagnons et le compagnon de cellule d'Adonis se rua sur ce qui avait trainé au sol, le mangeant au grand dégout de tous.

Adonis regarda son compagnon de cellule manger-si l'on peut appeler ca manger- ce que le garde leur avait lancer pour le repas. Cet homme lui faisiat pitier de se nourir de la sorte. Celui-ci lui donner envie de lui donner uen bonne corection pour lui apprendre le savoir vivre, mais dans ce lieu, il ne serai pas compris de la sorte hélas.
"Comment peus-tu te substenter de la sorte. Tu n'as aucun amour propre pour te jeter au sol de cette façon en quête de nouriture? Si tu continue de la sorte, ils ne ferons rien pour amélorer ton état."

Adonis ne pouvais supporter la vue de l'homme rampant pour manger.

"Si tu veut manger comme cela, fait-le autre part."

Adonis donna un coup de pied à son compagnon de céllule pour l'éloigné de lui.

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[Dommage tu avais une chance sur deux, soit tu l'aidais, soit tu faisais le méchant...]

Adonis ne supporta pas de voir l'homme qui était devant lui et qui mangeait à même le sol. Il se moqua même un peu de lui mais le prisonnier sale ne répondit pas.

"Si tu veut manger comme cela, fait-le autre part."

Le prisonnier se prit alors un coup de pieds qui le fit rouler à l'autre bout de la cellule... C'est à ce moment là que le colocataire de prison d'Adonis, comme prit d'une folie passagère, activa une épée et se jeta sur l'homme (-20 Pv). Adonis fut touché au flan droit et tomba au sol, se recroquevillant sur lui même tellement la douleur était intense.

"Tu n'es rien ici! Tu m'entends? tu n'es rien!!! Je me fous de tes principes, je mange comme je veux et si tu ne veux pas de la bouffe que l'on te fille tant pis, ça en fera plus pour moi! Alors soit tu manges soit tu te tais, je ne veux plus t'entendre!"

C'était la première fois que Adonis entendait parler la personne qui partageait sa cellule. Les gardes atirés par le bruit arrivèrent devant la porte de la cage de ferrailles.

"Hé chef, je crois que le nouveau vient de faire connaissance avec Chester..."

"Ha ha bien fait pour lui, même moi je ne me frotterai pas à lui, c'est pour ça qu'on y balance sa bouffe... A ce rythme là le vieux va pas tenir, en plus vu la cellule, ça va s'infecter à coup sur..." dit le chef.

[Règle numéro 1, faut être gentil avec les gens ^^]

Adonis recus une douloureuese entaille au flanc, ce qui le jeta sur sa couchette. Cette attaque énerva Adonis, de plus les gardes arrivérent et se moquére de lui, ce qui le poussa hors de lui. Il se leva et activa sa rapiére.

"Je ne me laisserait pas faire de cette façon. Tu es peut-être plus fort que moi mais je ne me laisserait pas faire."

Adonis se lanca sur Chester pour lever l'affront que celui-ci lui avait porter.

PV : 50-20=30
PM : 10-10=0

[Régle numéro 1 de Adonis: ne pas se laisser faire, même par plus fort que soit et surtout par des pécores^^.]

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Adonis dans un élan de fierté sauta sur Chester qui vit le coup arrivé, il désactiva son épée et posa une main au sol, un de ses barcelt brilla et le sol sous Adonis explosa (-25 Pv) alors que le prisonnier souriait sans avoir reçut le moindre dommage.

Adonis s'effondra sur le sol, inconscient...

"Chef! Je crois que faut emmener le nouveau à l'infirmerie..." cria Chester.

Deux soldats sortirent tranquillement Adonis de la cellule tandis que Chester resta tranquillement.

Adonis fut transporté à l'infirmerie....

[Y en a qui dise que je suis le diable mais y a pas de preuves... ^^

Règle Numéro 2: tu ne seras pas trop fier ^^.]

Adonis s'élanca vers Chester mais celui-ci activa un nouvel ärm qui fit exploser le solsous lui.
Aprés une pause dans le noir complet, Adonis se réveilla sur le lit de l'infirmerie. La piéce était vide. La douleur se faisiat sentir dans tout le corp mais au moin il n'était plus dans la cellule.
Il se leva difficilement et fit le tour de la piece du regard pour bien se rendre compte de la topographie de la piece puis se dirigea vers la fenetre et enfin vers la fenetre en recherchant un bruit qui révélerer la presence d'un garde.

[Le diable n'envoie pas a l'infirmerie mais au cimetierre^^]

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[C'est juste que j'ai pas le droit de tuer à la première mission

Lorsque Adonis se réveilla dans l'infirmerie, il était seul. Il s'avança jusqu'à la fenêtre et put remarquer qu'il y avait des barreaux, rendant toutes évasions par la fenêtre impossible. Mais il ne vit aucun garde faire de ronde dehors, il était dans une petite prison provencale.

Une personne vint frapper à la porte, une voix féminine.

"Monsieur, vous êtes réveillé?"

La poignée de la porte commença à tourner, attendant une quelconque réponse de la personne dans la salle.

Adonis entendit quelqu'un s'approcher, mais fut tout de même surpris en entendant une voix de femme.
Il préferra rester derriére la porte en attendant qu'elle ouvre, et ainsi pouvoir prendre un otage au cas où il y en aurrais besoin.
l'attenta parrus interminable, mais la porte commenca à s'ouvirir doucement et sans faire de bruit.
Adonis activa discrétement sa rapiére et attendit d'avoir une vu sur la personne qui arriver.

[Désolé si je fais des mini post, mais je ne voit pas quoi dire d'autre dans cette cituation...]

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Adonis se tenait derrière la porte, la personne entra....

Il s'agissait d'une jeune infirmière avec un plateau plein de médicaments, de là où elle était placée, elle ne voyait rien, ni personne, pas même Adonis que la porte dissimulait...

"Y a quelqu'un? Monsieur?..." demanda tout fort la jeune infirmière.

Elle continua à chercher un peu du regard...

La porte s'ouvris sur une jeune femme portant un plateau. Adonis ferma la porte et se colla à l'infiriére qui sursauta. Il plaqua sa rapiére sur la gorge de la femme.

"Pas un mot et pas un geste tant que je ne le vous dit pas.
Si vous faite quoi que se soit je serais obliger de vous mettre 1métre de fer dans la gorge. Je ne tient pas à le fare mais s'il le faut je m'y vérrais obliger."

Adonis attendit qu'elle se calme un peut et il l'amena vers la couchette.

"Je veut savoir combien il y a de garde et où il sont cituer. De plus je veut connaitre le cemin le plus court pour sortir d'ici. Répondé à voie faible et calmement."

Il éloigna sa lame pour qu'elle ne soit plus en contact avec la peau de la jeune femme, mais en la laissant proche en cas de besoin.

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L'infirmière lacha son plateau et sentit comme un objet la strangulant et entaillant sa gorge.

Une voix se fit alors entendre et lui dit fermement.

"Pas un mot et pas un geste tant que je ne le vous dit pas.
Si vous faite quoi que se soit je serais obliger de vous mettre 1métre de fer dans la gorge. Je ne tient pas à le fare mais s'il le faut je m'y vérrais obliger."

"Je veut savoir combien il y a de garde et où il sont cituer. De plus je veut connaitre le cemin le plus court pour sortir d'ici. Répondé à voie faible et calmement."

La jeune fille se mit alors à répondre d'une voix tramblotante.

"Ne me faite pas de mal monsieur, je ne sais rien du tout de ce que vous me demandez, je viens d'arriver dans cette prison, je suis d'une petite ville pas loin d'ici et je viens tout juste d'être affecté ici. Ne me tuez pas je vous en supplie. Il y a des gardes partout dès que je me déplace j'en vois plein, c'est tout ce que je sais, pour la sortie, je ne sais pas, on m'a fait rentrer et depuis je vis ici, 24h/24 et 7J/7. pitié monsieur" s'exprima la femme en larmes qui perlaient sur la rapière.

La fille sanglotait énormément, le plateau repas était retourné sur le sol de l'infirmerie.

La réponse de l'infirliére ne convenais pas à Adonis, mais celui-ci ne put faire autrement. Il décida qu'il devais partir le plus tot possible.

"Ne bouger pas. Je prend juste votre blouse."

Adonis vit la jeune femme s'appreter à crier mais pointa sa lame sur sa gorge.

"Je ne vous veut rien pour le momment. Alors faite ce que je vous dit."

Il pris la blouse pour la métre sur ses épaule en éspérant que cela suffirais pour passer inapercu du plus de gardes possible.
Il pris ensuite un linge qui trainer et baillona la jeune femme.

"Si vous ne faite rien tout ce passera bien.Je compte sur votre discraition. Sinon je serai où vous trouver."

Il enferma l'infirmiére dans un placard où elle passa difficilement en aissaillant de se débatre.
Aprés se momment difficile, Adonis se dirigea vers la porte et désactiva son ÄRM. Il ouvris la porte et sorti de l'infirmerie en sentant des douleur dans son corp à cause des coups pris dans la céllule.
Il marcha quelque pas en ésseillant de parraitre décontracter pour ne pas ce faire voir.

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Adonis baillona l'infirmière qui pleurait mais elle ne savait pas vraiment pourquoi, si c'était la joie de ne pas mourrir ou bien la peur de ce qui pourrait se passer si on découvrait qu'elle avait quelque chose à voir avec la fuite du prisonnier.

Une blouse sur les épaules, l'homme se dirigea dans le couloir, ne sacant pas vraiment où il se rendait il déambulait de couloirs en couloirs, à la recherche d'une sortie, il croisa pas mal de monde mais personne ne fit vraiment attention à lui. Il arriva devant une porte qu'il ouvrit... le placard à balai... Il referma la porte feignant de l'avoir fait exprès, il repartit en chasse de l'ouverture qui le menerait dehors...

Adonis marcha une bonne dizaine de minutes, il se trompa encore un bon nombre de fois et il commençait à perdre patience de la vanité de sa recherche. L'un des gardes qui surveillaient les cellules qui se baladait dans les couloirs de l'infirmerie avait un bandage sur la tête.... Il croisa Adonis...

"Bonjour Doc... hééééé toi, je te reconnais, l'Alerte!!! Sonnez l'Alerte!!!"

En une fraction de secondes, Adonis se retrouva entourer d'une dizaine de garde qui sautèrent dessus. Il se retrouva une nouvelle fois dans une cellule, mais il était tout seul à présent et n'avait plus ses ärms sur lui...

[Bon là, je n'ai pas beaucoup de temps, postes une truc tout simple et je posterai un truc ensuite.]